Prétexte nostalgico-poulpesque pour rafraichir la page d’accueil et tourner celle des traumatismes post confinement : les croix du Massif de Chartreuse ! (pour les débarqués de la Lune ou les tombés sur mon site par hasard, voir les épisodes précédents ici, là et puis là aussi).
Petite randonnée sportive à la Roche Veyrand, histoire de transpirer et de vérifier l’état d’une des croix du massif : en 2016, elle avait été à demi sciée et couchée à terre. Depuis, plus de nouvelles et je n’avais pas eu l’occasion d’y trainer les semelles (ce n’est pas ma sortie favorite, presque 800 m de dénivelé en 2.5 km, descente aussi exigeante que la montée, s’il me fallait réécrire J’avais la croix, je penserais à rajouter un truc sur les genoux douloureux du Poulpe).
Pourtant le sommet me réservait une petite surprise.


Dans la bataille que se livrent les planteurs et les coupeurs de croix du Massif de Chartreuse, c’est un développement que je n’avais pas anticipé : est-ce une subtilité symbolique ? Un compromis diplomatique ? Une provocation ? Je m’interroge.

Un déménagement minimaliste sous l’œil amusé du Grand Som qui, lui, s’agrippe encore à ses dernières neiges de printemps.